La douleur échographique bloque l'application mobile | Application d'injection guidée

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Actualités de l'application

Redéfinir l'évaluation de la douleur aiguë pour améliorer la prédiction de la douleur chronique post-chirurgicale (DCPC)

Une étude récente publiée dans le British Journal of Anaesthesia par Maurice-Szamburski et al. examine les limites des méthodes traditionnelles d'évaluation de la douleur dans la prédiction de la douleur postopératoire chronique (DCPC). Les chercheurs proposent de déplacer l'accent de l'intensité de la douleur vers l'expérience de la douleur rapportée par le patient, identifiant cela comme un prédicteur plus fiable des résultats de la douleur à long terme. Leurs conclusions révèlent que la capture de l'expérience subjective de la douleur peut permettre une gestion plus efficace de la douleur et réduire la probabilité de DCPC après la chirurgie. Aperçu de la DCPC chronique et objectifs de l'étude La DCPC affecte jusqu'à 25 % des patients après une chirurgie, ce qui représente un fardeau considérable pour les systèmes de santé et diminue considérablement la qualité de vie. Traditionnellement, des niveaux élevés de douleur postopératoire aiguë ont été corrélés au risque de DCPC. Cependant, des facteurs psychologiques tels que l'anxiété, la dépression et la catastrophisation de la douleur contribuent également au développement de la DCPC. Reconnaissant cette complexité, les auteurs ont cherché à déterminer si l'expérience subjective de la douleur d'un patient, mesurée à l'aide d'un outil de résultats rapportés par le patient validé, pourrait servir de prédicteur plus efficace de la DCPC que l'intensité de la douleur seule. Principaux résultats Réalisée en tant qu’analyse secondaire dans le cadre d’un essai clinique multicentrique portant sur 294 patients ayant subi une chirurgie orthopédique, cette étude a utilisé le questionnaire d’évaluation du décès de l’anesthésie générale (EVAN-G) pour évaluer l’expérience de la douleur des patients. Les principaux résultats sont les suivants : L’expérience de la douleur comme facteur prédictif : sur 219 patients dont les données étaient complètes, 63 (29 %) ont développé une DCPA 90 jours après la chirurgie. Ceux qui ont rapporté une expérience de la douleur moins bonne sur la dimension de la douleur EVAN-G le deuxième jour postopératoire étaient significativement plus susceptibles de développer une DCPA. Ce résultat souligne la valeur prédictive de l’expérience subjective de la douleur, les patients qui ont obtenu un score faible sur la dimension de la douleur présentant un risque accru. Rôle limité de l’intensité de la douleur : dans l’analyse multivariée, une fois la variable de l’expérience de la douleur incluse, l’intensité de la douleur aiguë a perdu sa signification prédictive pour la DCPA. Au lieu de cela, l’expérience de la douleur, qui saisit […]

17 décembre 2024

L'efficacité de l'ablation par radiofréquence non conventionnelle pour l'arthrose du genou

L'arthrose du genou (AO) est une affection articulaire dégénérative courante qui entraîne des douleurs chroniques et des limitations fonctionnelles. Alors que les traitements conventionnels tels que la physiothérapie, les médicaments et la chirurgie offrent un soulagement temporaire, des options de gestion de la douleur plus avancées comme l'ablation par radiofréquence (ARF) ont montré des résultats prometteurs. Cet article examine l'efficacité des techniques d'ARF non conventionnelles, en particulier l'ARF pulsée et refroidie, ciblant les nerfs géniculaires pour la gestion de la douleur de l'ARF du genou sur la base de résultats de recherche récents. Qu'est-ce que l'ablation par radiofréquence ? L'ablation par radiofréquence (ARF) est une procédure mini-invasive qui utilise l'énergie thermique pour perturber la signalisation nerveuse, réduisant ainsi la douleur. La technique a évolué, l'ARF pulsée et refroidie émergeant comme une alternative à la méthode traditionnelle de la sonde à haute température. Ces nouvelles techniques minimisent les dommages aux tissus environnants tout en offrant un soulagement durable de la douleur. ARF refroidie : cette méthode pompe de l'eau à l'intérieur de la sonde pour maintenir des températures plus basses (60 °C à 70 °C) tout en ciblant de plus grandes zones de tissu neuronal. Français Cela réduit les dommages thermiques aux tissus environnants, ce qui entraîne un soulagement prolongé de la douleur. RFA pulsée : La RFA pulsée utilise des salves intermittentes à haute tension pour limiter l'échauffement des tissus (maximum 42 °C), évitant ainsi des lésions nerveuses permanentes. Cette technique réduit le risque de complications et peut procurer un soulagement réversible de la douleur. Étude de méta-analyse : Évaluation de l'efficacité Une méta-analyse récente de Soetjahjo et al. (Pain Physician, 2024) a examiné l'efficacité de la RFA pulsée et refroidie dans le traitement de la douleur liée à l'arthrose du genou. L'étude comprenait 11 publications et évaluait à la fois le soulagement de la douleur et l'amélioration de la fonction physique. Principales conclusions Réduction de la douleur : La RFA refroidie et pulsée a entraîné une réduction significative de la douleur à 1, 3 et 6 mois après l'intervention. Il n'y avait pas de différence significative dans le soulagement de la douleur entre les deux techniques. Fonction physique : La RFA pulsée a montré une plus grande amélioration de la fonction physique lors des suivis à 1 et 3 mois, tandis que la RFA refroidie n'a pas démontré de gains fonctionnels significatifs. Effets indésirables : Peu d'effets indésirables ont été signalés, principalement des problèmes mineurs tels que […]

19 novembre 2024

Comprendre la sensibilité à la douleur préopératoire et son rôle dans la gestion de la douleur postopératoire

La sensibilité à la douleur préopératoire (PPS) est de plus en plus reconnue comme un facteur important dans la prédiction des résultats de la douleur postopératoire. Selon une revue systématique et une méta-analyse de 2024 publiées dans le British Journal of Anaesthesia, la PPS présente des corrélations notables avec la douleur postopératoire aiguë et chronique. Les résultats de cette étude donnent un aperçu de la manière dont les seuils de douleur avant la chirurgie peuvent éclairer la gestion de la douleur postopératoire, en particulier chez les patients à haut risque. Qu'est-ce que la sensibilité à la douleur préopératoire (PPS) ? La sensibilité à la douleur préopératoire fait référence à la façon dont les individus perçoivent et tolèrent la douleur avant la chirurgie. Cette sensibilité peut être évaluée à l'aide de diverses méthodes, telles que : Test sensoriel quantitatif (QST) : Comprend des méthodes telles que les seuils de pression, de chaleur et de douleur électrique. Seuil de douleur à la pression (PPT) : Mesure la pression minimale qui provoque la douleur. Seuil de douleur électrique (EPT) : Mesure la douleur en réponse à une stimulation électrique. Somme temporelle de la douleur (TSP) : Évalue comment la douleur augmente avec des stimuli répétés. Questionnaire de sensibilité à la douleur (PSQ) : Un outil d'auto-évaluation où les patients évaluent l'intensité perçue des situations douloureuses du quotidien. Résultats principaux La méta-analyse comprenait 70 études d’observation prospectives avec plus de 8,300 XNUMX patients, évaluant la corrélation entre le PPS et la douleur postopératoire. Les résultats fournissent une base pour développer des stratégies de gestion de la douleur sur mesure. Les principaux points à retenir de l’étude sont les suivants : Des seuils de pression et de douleur électrique (PPT, EPT) plus bas avant la chirurgie sont liés à une augmentation de la douleur postopératoire aiguë. Une sommation temporelle de la douleur (TSP) plus élevée est associée à la fois à la douleur postopératoire aiguë et chronique. Le PSQ n’était lié qu’à la douleur postopératoire aiguë mais n’a montré aucune association significative avec la douleur chronique. Douleur postopératoire aiguë vs. chronique L’étude met en évidence les différents mécanismes à l’origine de la douleur postopératoire aiguë et chronique : Douleur aiguë : Plus fortement liée aux seuils de pression et de douleur électrique préopératoires. Douleur chronique : Seul le TSP montre une corrélation significative, soulignant son rôle dans la gestion à long terme de l’inconfort postopératoire. Pourquoi la sensibilité à la douleur préopératoire est importante dans la douleur postopératoire […]

8 octobre 2024

Étude de cas : La technique SHAC pour traiter la capsulite adhésive

La capsulite adhésive, plus communément appelée épaule gelée, est une affection invalidante qui provoque des douleurs, des raideurs et une perte importante de mobilité de l'épaule. Pour de nombreux patients, les méthodes de traitement traditionnelles peuvent être lentes à apporter un soulagement, et le chemin vers la guérison est souvent semé d'embûches. Cependant, une nouvelle approche guidée par ultrasons, connue sous le nom de technique d'hydrodistension saline de la capsulaire antérieure (SHAC), émerge dans le traitement de cette affection. Comprendre la capsulite adhésive La capsulite adhésive est caractérisée par la formation de tissu cicatriciel excessif dans l'articulation de l'épaule, entraînant une restriction douloureuse des mouvements. L'affection peut être primaire, survenant spontanément, ou secondaire, souvent suite à un traumatisme, une intervention chirurgicale ou d'autres problèmes de santé sous-jacents. Les patients atteints de cette affection endurent généralement des mois de douleur et une perte progressive de l'amplitude des mouvements actifs et passifs. Qu'est-ce que la technique SHAC ? La technique SHAC représente une avancée significative dans la prise en charge de la capsulite adhésive. Cette procédure implique l'injection précise de solution saline et de stéroïdes dans l'espace capsulaire antérieur de l'articulation de l'épaule sous guidage échographique. Contrairement aux méthodes plus traditionnelles, telles que les approches postérieures ou par intervalles des rotateurs, la technique SHAC offre un soulagement ciblé de la douleur et permet une mobilisation immédiate de l’épaule après l’intervention. Comment fonctionne la technique SHAC ? Anatomie et points d’accès La technique SHAC s’appuie sur des repères anatomiques spécifiques au sein de l’articulation de l’épaule : Les gaines fasciales : La procédure cible la gaine fasciale entre les muscles deltoïdes et subscapulaires, ainsi que la gaine située sous la jonction myotendineuse subscapulaire. Ces gaines offrent un accès optimal à l’articulation gléno-humérale. Le foramen de Weitbrecht : Situé entre les ligaments gléno-huméraux supérieur et moyen, ce foramen permet l’entrée dans l’espace intra-articulaire. Le foramen de Rouvière : Un autre point d’accès, situé entre les ligaments gléno-huméraux moyen et inférieur, offre une voie alternative vers l’articulation. La procédure La technique SHAC est réalisée […]

le 24 septembre 2024

Étude de cas : Syndrome douloureux régional complexe

Présentation de cas Une femme diabétique de 56 ans présente depuis deux ans des douleurs croissantes à l'épaule droite, des raideurs, des douleurs nocturnes et un gonflement des membres supérieurs, ce qui a un impact significatif sur sa capacité à effectuer les tâches ménagères. Diagnostic Résultats de l'examen physique Abduction douloureuse de l'épaule Rotation externe douloureuse Présence d'un arc douloureux Test d'O'Brien positif Observations cliniques Membre supérieur droit œdémateux Peau brillante, pâle et froide, évocatrice d'un syndrome douloureux régional complexe (SDRC) Études de laboratoire et d'imagerie Glycémie à jeun : 188 mg% Hémoglobine A1c : 9.0 % VS et CRP normales Étude de conduction nerveuse normale et radiographie Doppler : arthropathie de la coiffe des rotateurs Échographie : tendinopathie de la coiffe des rotateurs, tendinopathie du supra-épineux Diagnostic final Capsulite adhésive (épaule gelée) Tendinopathie de la coiffe des rotateurs Syndrome douloureux régional complexe (SDRC) Diagnostic du SDRC Critères de Budapest Pour diagnostiquer le SDRC, le patient doit présenter au moins un symptôme dans trois des catégories suivantes et un signe dans deux catégories ou plus : Symptômes : Sensoriels : hyperesthésie, allodynie Vasomoteur : asymétrie de température, changements de couleur de la peau Sudomoteur/œdème : Œdème, modifications liées à la transpiration Moteur/trophique : diminution de l'amplitude des mouvements, dysfonctionnement moteur, modifications trophiques Signes : sensoriels : hyperalgésie, allodynie Vasomoteur : asymétrie de la température cutanée, modifications de la couleur de la peau Sudomoteur/œdème : œdème, modifications liées à la transpiration Moteur/trophique : diminution de l'amplitude des mouvements , dysfonctionnement moteur, changements trophiques Aperçu du SDRC Le syndrome douloureux régional complexe (SDRC) est une douleur chronique affectant un membre, souvent après une blessure. Les symptômes comprennent une douleur intense, une sensibilité au toucher, des changements de température, des changements de couleur de la peau et un gonflement. Un diagnostic et une intervention précoces sont cruciaux. Le traitement comprend une thérapie physique, des analgésiques, des blocs nerveux et un soutien psychologique. Conclusion Comprendre et diagnostiquer le SDRC à un stade précoce est essentiel pour gérer efficacement les symptômes. Une évaluation clinique et des critères de diagnostic appropriés, tels que les critères de Budapest, sont essentiels pour un diagnostic précis. Pour des informations plus détaillées sur le SDRC et sur la manière dont le Dr Madhan Pandian a traité ce patient, téléchargez l'application US Pain de NYSORA !

le 13 août 2024

Étude de cas : Épanchement de l’articulation de la cheville – Injection

Un homme de 20 ans a développé une douleur légère à modérée à la cheville après avoir dansé. Il a les pieds plats mais aucun antécédent de blessure antérieure. Bien que les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) lui apportent un soulagement temporaire, ses douleurs reviennent régulièrement et s'aggravent depuis un mois. Examen physique Douleur médiale et antérieure de la cheville Douleur dorsale du pied Pas de douleur au talon ou au talon d'Achille Pas d'augmentation de la douleur lors des manœuvres de provocation Pas d'œdème ni de rougeur Pas de sensibilité du pied plan bilatéral Résultats échographiques Épaississement et épanchement synoviaux de l'articulation tibio-talienne Ténosynovite de l'articulation tibiale postérieure Diagnostic Le patient a été diagnostiqué avec épanchement de la cheville et tendinopathie tibiale postérieure. L'épanchement de l'articulation de la cheville, souvent appelé cheville enflée, implique l'accumulation d'un excès de liquide dans les tissus mous entourant l'articulation. Cette condition résulte souvent d’une infection, d’une inflammation, d’un traumatisme ou d’une surutilisation. Apprenez-en davantage sur le traitement, les résultats pour les patients et d’autres études de cas dans l’application US Pain. Prêt à élever vos connaissances ? Appuyez ICI pour télécharger l'application incontournable pour les procédures contre la douleur chronique.

Le 6 juin 2024

Étude de cas : Syndrome douloureux du grand trochanter – Injection

Un homme diabétique de 65 ans souffre de douleurs latérales gauches à la hanche depuis six mois. Il ne rapporte aucune fièvre et n’a aucun antécédent de blessure ou d’intervention antérieure. Le patient mentionne que la douleur s'intensifie pendant la nuit, ce qui rend difficile son sommeil de ce côté. De plus, les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) se sont révélés inefficaces pour soulager ses symptômes. Examen physique Douleur latérale gauche de la hanche Pas de douleur au dos Pas de radiothérapie ni de renvoi de la douleur Pas de facteurs aggravants ou de soulagement La fomentation chaude procure un soulagement Résultats échographiques Échographie MSK de la hanche gauche Tendon anisotrope du moyen fessier Irrégularités corticales du grand trochanter au niveau du site d'insertion du moyen fessier Diagnostic du tendon Le patient a reçu un diagnostic de syndrome douloureux du grand trochanter (GTPS) provoqué par une tendinopathie du moyen fessier. Anciennement appelée bursite trochantérienne, la GTPS résulte d'altérations dégénératives des tendons fessiers et de la bourse séreuse. Cette affection se traduit par des douleurs le long de l'extérieur de la cuisse, aggravées par des activités telles que s'asseoir, monter des escaliers, pratiquer des sports à fort impact ou s'allonger sur le côté affecté. Découvrez-en davantage sur la stratégie de traitement, les résultats pour les patients et d’autres études de cas uniques dans l’application US Pain. Prêt à élargir vos connaissances ? Cliquez ICI et obtenez l'application ultime pour les procédures contre la douleur chronique.

30 mai 2024

Étude de cas : épicondylite latérale (tennis elbow) et injection guidée par échographie

L'épicondylite latérale, communément appelée tennis elbow, est une affection courante caractérisée par une douleur et une sensibilité autour de la face latérale du coude. Cette affection touche principalement les personnes effectuant des mouvements répétitifs des membres supérieurs, comme les athlètes et les professionnels impliqués dans des mouvements répétitifs de la main. Dans cet article, nous examinons le cas d'une femme de 30 ans chez qui on a diagnostiqué une épicondylite latérale et explorons les procédures de diagnostic et les stratégies de traitement. Présentation du cas Antécédents du patient : Âge/sexe : Femme de 30 ans Profession : Spécialiste en application d'ultrasons Symptômes : Douleur persistante au coude latéral du membre supérieur gauche depuis 4 ans, exacerbée par l'extension du poignet. Traitements antérieurs : Repos, attelles, analgésiques et injection de stéroïdes sans soulagement significatif. La patiente a signalé une sensibilité locale sévère au niveau de l'épicondyle latéral, suggérant une épicondylite latérale, une affection souvent associée à une surutilisation ou à des blessures dues à des efforts répétitifs. Diagnostic Examen physique Observation : Pas de rougeur ni de gonflement localisé. Palpation : Sensibilité au niveau de l'épicondyle latéral. Tests : Le test de Cozen était positif. Constatations échographiques Hétérogénéité tendineuse : Indicative d'épicondylalgie ou d'épicondylopathie. Irrégularités corticales : Observées au niveau de l'épicondyle latéral. Calcification : Dans le tendon extenseur commun. Néoangiogenèse : Détectée au Doppler couleur, indiquant une inflammation aiguë au niveau de l'attache du tendon. Conseils d'imagerie : Échogénicité : Évaluez toujours l'échogénicité du tendon ; l'hétérogénéité est pathognomonique de l'épicondylite. Vues multiples : Utilisez différentes positions et vues du transducteur (axe long et axe court) pour démontrer tous les signes pathologiques. Tests de laboratoire Glycémie à jeun : 86 mg/dl Vitesse de sédimentation érythrocytaire (VS) : 8 mm/h Résumé du diagnostic : Diagnostic principal : Epicondylite latérale (épicondylalgie, épicondylopathie). Diagnostic différentiel : compression du nerf interosseux postérieur, déchirure du ligament collatéral latéral. Approche thérapeutique : injection de plasma riche en plaquettes (PRP) Technique d’injection Présentation de l’injection de PRP : Objectif : thérapie régénératrice du tendon extenseur commun et soulagement ultérieur de la douleur. Anatomie impliquée : le tendon extenseur radial du carpe (ECRB) est le tendon le plus souvent impliqué. D’autres tendons comme l’extenseur des doigts, l’extenseur des doigts minimes et l’extenseur ulnaire du carpe peuvent également être […]

3 mai 2024

Étude de cas : Ténosynovite de De Quervain

La ténosynovite de De Quervain est une affection douloureuse qui affecte les tendons du côté du pouce du poignet. Elle est particulièrement fréquente chez les personnes effectuant des mouvements répétitifs de la main, comme celles qui exercent un travail manuel ou qui utilisent fréquemment leurs mains. Cet article présente une étude de cas détaillée d'une femme de 56 ans chez qui on a diagnostiqué une ténosynovite de De Quervain. Présentation du cas Antécédents de la patiente : Âge/sexe : Femme de 56 ans Profession : A travaillé dans une imprimerie pendant 6 ans Symptômes : Douleur chronique à la main gauche depuis six mois Antécédents : Pas d'antécédents de blessure à la main La patiente présentait une douleur chronique localisée à la face radiale du poignet, qui s'était progressivement aggravée au cours des six derniers mois. Ses antécédents professionnels impliquant des mouvements répétitifs de la main suggéraient une blessure potentielle de surutilisation. Diagnostic Examen physique Test de Finkelstein : Positif. Résultats de l'échographie Vue transversale : Montre un mince rebord de liquide inflammatoire entourant les tendons du compartiment extenseur 1. Vue longitudinale : Révèle des tendons gonflés (abducteur du pouce long [APL] et extenseur du pouce court [EPB]) entourés de liquide inflammatoire. Résumé de l'imagerie : Diagnostic : Ténosynovite de De Quervain. Rôle de l'échographie : Fournit une imagerie détaillée des tendons enflammés et des structures environnantes, permettant un diagnostic précis et une planification du traitement. Traitement Présentation de l'injection de corticostéroïdes : Objectif : Soulagement de la douleur et réduction de l'inflammation dans les tendons affectés. Zone cible : Gaine du tendon du compartiment extenseur 1 sur le poignet. Technique d'injection guidée par échographie : Configuration de l'échographie : Transducteur : Transducteur linéaire de 3 à 13 MHz, de préférence une sonde en forme de crosse de hockey pour une meilleure visualisation de l'aiguille. Préréglage : Musculosquelettique. Orientation : Axiale. Profondeur : 1 cm. Positionnement du patient : Position : Patient en décubitus dorsal avec le poignet en position semi-pronation. Un tube de gel est placé sous le poignet pour obtenir une déviation ulnaire minimale pour une meilleure imagerie. Identification des repères : Repères clés : tendons APL, EPB et liquide inflammatoire environnant. Insertion de l'aiguille : Préparation stérile : Stériliser le poignet, la main et le transducteur. Anesthésique local : Infiltrer avec 0.5 ml de lidocaïne à 2 % […]

18 avril 2024

Étude de cas : Syndrome de conflit sous-acromial – Injection

Une patiente de 45 ans s'est présentée avec des douleurs chroniques à l'épaule gauche durant trois mois suite à une blessure mineure. La douleur était principalement centrée autour du haut du bras et de la fosse sus-épineuse, s'aggravant notamment la nuit. De plus, une douleur accidentelle était présente lors de l’abduction de l’épaule. Examen physique Arc douloureux présent Test de Neer : Positif Test de Hawkins-Kennedy : Positif Résultats échographiques Tendon supra-épineux au niveau de la facette supérieure de la grosse tubérosité : Normal Vue longitudinale de la coiffe des rotateurs au niveau de la facette supérieure de la grande tubérosité. tubérosité. Tendon du supra-épineux au niveau de la facette inférieure de la grosse tubérosité : déchirure minime de la surface de la bourse, déchirures intra-substance Vue en grand axe de la coiffe des rotateurs au niveau de la facette inférieure de la grosse tubérosité. Vue selon l'axe court du tendon du sus-épineux : Vue normale selon l'axe court de la coiffe des rotateurs. Diagnostic Le patient a été diagnostiqué avec un syndrome de conflit sous-acromial secondaire à une tendinopathie de la coiffe des rotateurs. Le syndrome de conflit sous-acromial résulte d'une compression, d'une irritation ou d'une inflammation des tendons de la coiffe des rotateurs dans l'espace sous-acromial. Cela provoque des douleurs à l’épaule, une faiblesse et une mobilité limitée de l’épaule, souvent dues à des facteurs tels que des activités répétitives au-dessus de la tête ou des problèmes structurels. Ce rétrécissement de l'espace sous-acromial comprime les tendons de la coiffe des rotateurs et la bourse sous-acromiale. Dans ce cas particulier, le conflit a été attribué à une tendinopathie de la coiffe des rotateurs. Apprenez-en davantage sur le traitement, les résultats pour les patients et d’autres études de cas dans l’application US Pain. Prêt à élever vos connaissances ? Appuyez ICI pour télécharger l'application incontournable pour les procédures contre la douleur chronique.

29 février 2024

Étude de cas : Arthrite de l’articulation acromio-claviculaire – Injection

L'arthrite acromio-claviculaire (AC) est une cause fréquente de douleur à l'épaule, en particulier chez les personnes qui se livrent à des activités manuelles répétitives. Dans cet article, nous discuterons du cas d'une femme de 65 ans atteinte d'arthrite acromio-claviculaire et de l'utilisation de l'injection guidée par échographie comme option thérapeutique efficace pour soulager la douleur. Présentation du cas Une travailleuse manuelle de 65 ans s'est présentée avec des antécédents de 4 mois de douleur à l'épaule gauche. Ses symptômes comprenaient : Douleur sur la région antéro-médiale de l'épaule. Douleur en rotation externe. Douleur à l'épaule supérieure, en particulier la nuit. Ce type de présentation est typique de l'arthrite acromio-claviculaire, en particulier chez les personnes dont le travail ou le mode de vie exerce un stress fréquent sur leurs épaules. Diagnostic Examen physique Arc douloureux Test de Scarf : Positif Test d'O'Brien : Positif Résultats d'imagerie et de laboratoire Échographie : Une échographie de l'articulation acromio-claviculaire a montré un rétrécissement de l'espace, une distension capsulaire et la présence d'un ostéophyte, tous compatibles avec une arthrite acromio-claviculaire. Vue transversale de l'espace articulaire acromio-claviculaire montrant un rétrécissement de l'espace, une distension capsulaire et un ostéophyte. Radiographie : L'imagerie radiographique a révélé une arthropathie de la coiffe des rotateurs et une arthrite de l'articulation AC, avec réduction de l'espace articulaire. Image radiographique de l'épaule gauche. Glycémie à jeun : La glycémie à jeun du patient était de 102 mg/dL, dans la plage normale, ce qui exclut les complications diabétiques comme cause de la douleur. Diagnostic final Le patient a été diagnostiqué avec une arthrite de l'articulation acromio-claviculaire et une tendinopathie du supra-épineux. L'arthrite de l'articulation AC résulte de la détérioration du cartilage dans l'articulation AC, souvent en raison d'un stress répétitif. La tendinopathie du supra-épineux est généralement associée à un pincement dans l'espace sous-acromial, entraînant une inflammation et une dégénérescence du tendon. Traitement : Injection de l'articulation AC guidée par échographie Étant donné la gravité de la douleur du patient et l'échec du traitement conservateur à apporter un soulagement adéquat, une injection guidée par échographie de l'articulation AC a été choisie comme étape suivante. Cette procédure mini-invasive consiste à […]

1 février 2024

Coude du golfeur (épicondylite médiale) et traitement par injection de stéroïdes : une étude de cas

L'épicondylite médiale, communément appelée coude du golfeur, est une maladie chronique caractérisée par une douleur et une inflammation des tendons qui s'attachent à l'épicondyle médial du coude. Cette maladie résulte souvent de mouvements répétitifs du poignet et de l'avant-bras et peut entraîner un inconfort important et une déficience fonctionnelle. Dans cet article, nous présentons une étude de cas d'une femme de 33 ans chez qui on a diagnostiqué un coude du golfeur. Présentation du cas Antécédents de la patiente : Âge/sexe : Femme de 33 ans Symptômes : Douleur au coude médial droit persistant depuis un an suite à un traumatisme mineur Traitement antérieur : Kinésithérapie et AINS, sans amélioration significative La patiente a signalé une douleur persistante au niveau de la face médiale de son coude droit, ce qui a considérablement affecté ses activités quotidiennes. Malgré une prise en charge conservatrice, notamment une physiothérapie et des AINS, ses symptômes ont persisté. Diagnostic Examen physique Observation : Aucune rougeur ni œdème notés. Palpation : Sensibilité au niveau de l'épicondyle médial. Test de Polk : Positif pour l'épicondylite médiale. Paramètres de laboratoire et imagerie Glycémie à jeun : 100 mg% Vitesse de sédimentation : 10 mm/h Étude de conduction nerveuse : normale Résultats de l'échographie : Déchirures des tendons : Déchirures minimes du tendon fléchisseur commun au point d'insertion sur l'épicondyle médial. Vue grand axe du tendon fléchisseur commun et de l'épicondyle médial. Notez les déchirures au point d'insertion. Épanchement articulaire : Petit épanchement dans le récessus articulaire antérieur du coude. Vue grand axe du coude postérieur révélant un petit épanchement dans le récessus articulaire antérieur. Résumé de l'imagerie : Diagnostic : Epicondylite médiale. Diagnostics différentiels : Syndrome de surutilisation du pronateur, syndrome du tunnel cubital, arthrite, radiculopathie cervicale. Traitement : Injection de stéroïdes Présentation de l'injection de stéroïdes : Objectif : Soulager la douleur en réduisant l'inflammation au niveau du site affecté. Site d'injection : Superficiel par rapport au tendon fléchisseur commun au niveau de son insertion sur l'épicondyle médial. Traitements alternatifs : Options : Aiguilletage à sec, prolothérapie au dextrose, botox et injection de PRP. Choix du patient : Le patient a opté pour une injection de stéroïdes pour un soulagement plus rapide de la douleur, bien que le PRP […]

4 janvier 2024
Disponible sur les téléphones portables et les tablettes

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Avec des techniques éprouvées de blocage de la douleur guidées par les États-Unis utilisées par les praticiens du monde entier

Basé sur la principale autorité mondiale en matière d'échographie, le livre du Dr Samer Narouze « Atlas des procédures guidées par ultrasons dans la gestion interventionnelle de la douleur », l'application US Pain de NYSORA décrit les techniques les plus pratiques et les plus applicables de médecine de la douleur guidée par échographie.

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1. Bloc nerveux du troisième nerf occipital et de la branche médiale cervicale
2. Injection intra-articulaire cervicale zygapophysaire (facette)
3. Bloc de racine de nerf cervical
4. Bloc paravertébral thoracique
5. Bloc nerveux de la facette lombaire et injection intra-articulaire
6. Injections de racines nerveuses lombaires (périradiculaires)
7. Blocs neuraxiaux centraux
8. Injections épidurales caudales
9. Injection articulaire sacro-iliaque
10. Bloc du plan transverse de l'abdomen (TAP)
11. Bloc du plexus coeliaque et neurolyse
12. Bloc nerveux ilio-inguinal, iliohypogastrique et génito-fémoral
13. Injection musculaire piriforme
14. Bloc du nerf pudendal
15. Ganglion Impar injection
16. Blocs superficiels du nerf trijumeau
17. Bloc du nerf occipital supérieur
18. Bloc sympathique cervical
19. Bloc du nerf cutané fémoral latéral
20. Bloc nerveux suprascapulaire
21. Bloc nerveux intercostal
22. Injections de bourse sous-acromiale/sous-deltoïdienne
23. Injections de la gaine du tendon du biceps (biceps - tête longue)
24. Injections articulaires acromio-claviculaires
25. Injections articulaires glénohumérales
26. Injections du tendon sous-scapulaire/de la bourse sous-scapulaire
27. Injections articulaires sternoclaviculaires
28. Injections du canal carpien
29. Injections de doigt de déclenchement
30. Injections au poignet
31. Injections pour le dysfonctionnement du tendon
32. Injections au coude
33. Injections intra-articulaires de la hanche
34. Injections au genou
35. Injections articulaires atlanto-axiale et atlanto-occipitale
36. Stimulation des nerfs périphériques
37. Stimulation occipitale
38. Stimulation de l'aine
39. Diskographie cervicale et procédures intradiscales
Questions fréquemment posées

Les blocs nerveux guidés par échographie sont des procédures mini-invasives utilisées pour administrer des anesthésiques locaux ou d'autres médicaments à proximité de nerfs spécifiques sous la direction d'une imagerie échographique. Cette technique permet un ciblage précis des nerfs pour soulager efficacement la douleur en interrompant la transmission des signaux de douleur.

L'échographie joue un rôle essentiel dans la gestion de la douleur en fournissant des conseils d'imagerie en temps réel pour diverses interventions, notamment les blocs nerveux, les injections et d'autres procédures. Il permet aux prestataires de soins de visualiser les structures anatomiques, de cibler avec précision la source de la douleur et de délivrer des traitements avec précision, améliorant ainsi les résultats et la sécurité des patients.

Une injection guidée par échographie délivre un médicament, tel qu'un anesthésique local ou un corticostéroïde, dans une zone cible spécifique sous la direction d'une imagerie échographique. Ces injections peuvent soulager la douleur en réduisant l’inflammation, en bloquant les signaux de douleur ou en facilitant la guérison, selon l’affection sous-jacente traitée.

Les procédures interventionnelles guidées utilisant l'échographie comprennent une gamme d'interventions visant à diagnostiquer et à traiter les états douloureux. Certaines procédures courantes comprennent les blocs nerveux, les injections articulaires, les injections de gaine tendineuse, les injections de points de déclenchement et les procédures vertébrales telles que les injections péridurales de stéroïdes ou les injections articulaires facettaires.

Une échographie diagnostique dans la gestion de la douleur consiste à utiliser l’imagerie échographique pour évaluer et diagnostiquer les douleurs musculo-squelettiques et neuropathiques. Il permet aux prestataires de soins de visualiser des structures telles que les muscles, les tendons, les ligaments, les nerfs et les articulations afin d'identifier avec précision les anomalies, les blessures ou les sources de douleur.